Black Moon Warrior
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 Les mémoires d'Erato

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erato_uriel
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MessageSujet: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeLun 14 Avr - 21:33

Je suis née il y a une éternité, me semble-t-il, dans une bourgade d'un petit royaume du nord, par delà le massif des Ardennes. De famille plutôt aisée pour l'époque, comparativement à la misère qui régnait en ces temps-là, mon père était précepteur des enfants de Mr le comte et ma mère, de naissance aristocratique, avait fui sa famille par amour pour lui, faisant fi des réticences de son père à elle. Elle avait fini par convaincre ce denier de lui laisser épouser mon père et de cette union étaient nés deux enfants : mon frère, de huit ans mon aîné et moi.
Sans être Byzance, nous vivions bien, ayant une jolie maisonnette quelque peu isolée, décorée avec soin par ma mère. J'étais entourée d'affection, de tendresse et l'amour régnait en maître au sein de notre famille. Je reçus ce qu'on appelle une bonne éducation, fut initiée par ma mère aux raffinements d'un bon vin, aux mets variés et enchanteurs, aux effluves délicates d'un parfum. Elle me donna le goût de la lecture et celui du théâtre. Mon père, quant à lui, me légua son amour de la nature, me contant, au cours de nos parties de pêche, mille et une choses sur une fleur par ci, un oiseau par là. Il m'apprit, lors de nos nombreuses promenades en forêt, à écouter respirer la sylve evanescente, à reconnaître le cri du faisan ou la fuite d'un chevreuil. Il m'apprit aussi à m'émerveiller sous un ciel étoilé et à humer le soufre saturant l'atmosphère lorsque l'orage gronde. Il me donna, enfin, la passion de la musique.
Je ne sais si ce sont les vicissitudes de la vie vampirique qui me font sublimer cette partie de mon existence, mais je la garde en moi comme une période de bonheur, empreinte de la magie de l'enfance.


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erato_uriel
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MessageSujet: Re: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeLun 14 Avr - 21:35

Le rêve bascula un soir de juin, j'avais alors 18 ans. Mes parents étaient partis en voyage pour deux jours, s'octroyant une pause en amoureux histoire de se retrouver. Ils étaient censés rentrer ce soir-là et je compris vite que quelque chose n'allait pas quand je vis ma mère descendre seule du carrosse qui entrait dans la cour. Son teint était blème et ses yeux rougis. De grosses cernes soulignaient d'avantage le regard vide de ses yeux verts.
"Ton père est mort" me dit-elle en s'effondrant dans mes bras. Ses paroles claquèrent comme un coup de fouet sur mon coeur. Je chancelai. J'eus l'impression que le monde s'arrêtait. Plus jamais je n'aurais l'occasion de le voir rougir lorsque je m'asseyais sur ses genoux et qu'il me disait "Tu es trop grande pour faire ça maintenant", sachant pertinemment que cela lui faisait plaisir. Finies nos parties de pêche au bord de l'étang voisin et ses leçons de sciences naturelles bucoliques. Je m'en voulus de ne pas m'être levée au matin de leur départ pour les saluer et leur souhaiter bon voyage. Ils étaient partis à l'aube alors que je dormais encore. Je m'en voulus plus encore de ne pas avoir pris le temps, durant toutes ces années passées à ses côtés, de lui dire combien je l'aimais, trop pudiques, l'un et l'autre pour ce genre de conversation.
C'est alors que je me plongeai à corps perdu dans les livres, engouffrant le plus de savoir possible pour oublier, ou plutôt occulter ma douleur. Je soutenais malgré tout ma mère comme je le pouvais, mon frère étant parti vivre sous d'autres cieux, appelé par l'amour de sa belle.
Je fis, peu de temps après, la connaissance d'un officier de la garde royale lors d'un bal au village, ma mère m'ayant poussée à m'y rendre pour me changer les idées. Je crus trouver le prince charmant de mon enfance, celui dont rêvent toutes les petites filles : il était bel homme, loin d'être stupide et me témoignait mille attentions.
Après trois ans de cour empressée, il demanda ma main et nous célébrâmes nos noces peu de temps après en une fête dont on parla longtemps. Il me fit deux magnifiques enfants qui firent ma fierté, mais il mourut alors que ma fille n'était encore qu'un bébé : une balle avait trouvé le chemin de son coeur.
Etrangement sa mort me pesa moins que celle de mon père. Mon coeur s'était-il habitué à la mort devinant le destin qui l'attendait ?
Ce destin prit la forme d'un ami de mon frère que je n'avais plus vu depuis longtemps. Il avait voyagé vers des contrées lointaines jusqu'en Asie, s'était imprégné de la culture orientale et avait été initié aux techniques de combat autochtones. Je le rencontrai au cours d'une soirée à laquelle j'avais été conviée afin de goûter une boisson nouvellement raportée des Amériques, et qui, disait-on, faisait fureur à la cour. Ce breuvage était préparé à base de fèves d'un arbre qui ne poussait qu'outre Atlantique et ma curiosité avait été piquée au vif.
Frayka, tel était son nom, fit son entrée un peu après moi et vint s'assoir à mes côtés, m'ayant reconnue. Je fus saisie par sa pâleur et son regard profond et étrange : quelque chose avait changé en lui et je n'arrivais pas à en identifier la cause. Le temps semblait n'avoir eu aucun effet sur son visage et il irradiait d'une force tranquille. Nous engageâmes bien sûr la conversation et il passa la soirée à me conter ses voyages, m'émerveillant par de multiples descriptions des paysages qu'il avait eu la chance de traverser. Je buvais plus ses paroles que le fameux breuvage qu'on appellerait plus tard chocolat. La soirée fut trop courte, l'heure avançant à pas feutrés et nous nous quitâmes à regrets, nous promettant de nous revoir bien vite. Ce que nous fîmes, bien sûr, à maintes reprises et je le priai de m'initier aux techniques de combat qu'il avait apprises en Asie. Peu à peu, j'acquis une dextérité et une endurance nouvelles, augmentant ainsi ma confiance en ma vivacité de réplique éventuelle.
Nous discutions aussi philosophie et c'est ainsi qu'un soir, il me révéla sa véritable nature. Cette révélation, vous vous en doutez, allait changer le cours de ma vie, celle de ma mort.
Je l'avais convié à dîner et c'est au cours de ce dîner que je lui demandai d'où lui venait cette rapidité d'attaque et de défense qu'il déployait lors de nos entraînements. Il me répliqua : « Maintenant que nous sommes suffisament proches, tu es mon élève, je peux te confier mon secret. » Il me dit qu'il avait ramené de ses voyages lointains, une nature très particulière, celle de vampire et que cet état lui convenait parfaitement. « Suis-je en train de rêver ? », me dis-je. Depuis mon enfance, j'avais écouté avec fascination, les histoires de vampires, pensant que tout cela n'était que légendes. Et voilà que se présentait à moi un véritable vampire. « Veux-tu me rejoindre dans ce monde de ténèbres ? Suivras-tu mon enseignement jusqu'au bout ? » J'hésitai : j'avais deux enfants et mon amour et ma responsabilité de mère me permaient-ils un tel changement radical d'existence ? Mais je me dis que malgré toute l'horreur que cela représentait, je pouvais à mon tour leur offrir l'éternité. Et puis la condition humaine était-elle si magnifique avec ses limites et ses craintes, ses maladies et sa vieillesse, son hypocrisie et ses mensonges, tous ces carcans dont elle était prisonnière. Je n'avais donc aucun remord à la quitter et emmener avec moi mes enfants. J'acceptai donc sa proposition.


Dernière édition par erato_uriel le Lun 14 Avr - 21:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeLun 14 Avr - 21:38

Point d'amour à proprement parler ne nous unissait, juste une amitié sincère et un respect mutuel. Cette morsure extatique, ce baiser de mort me fut donc donné avec beaucoup de douceur et de tendresse, un peu comme une caresse exquise offerte à une amie très chère. Il m'étreignit de ses bras forts et musclés et me mordit à la base du cou, juste là où pulse la vie, trépidente et bouillonnante. Je me rappelle d'une extase empreinte de volupté, une jouissance transcendée par la douleur. Et ma vie me quittait, s'écoulant lentement, flux vital s'amenuisant irrémédiablement. Une étrange symbiose grandissait inversément entre nous et nos pensées se mèlaient intensément : je connus et sus tout de lui en cet instant. Et je glissai dans le néant... pour m'éveiller à cette nouvelle existence qui serait désormais la mienne.
Ma première vision vampirique fut son visage penché sur le mien, souriant. « Il me faut à présent porter ton apprentissage au delà des limites imposées par ton humanité. » Il me prit par la main et nous glissâmes sans bruit dans la nuit. La minute d'après, nous nous retrouvions dans une ruelle sombre de ce qui semblait être une petite ville que je ne reconnus point. « Observe » me soufflat-il. Je le découvris alors sous un jour nouveau et inattendu : celui de prédateur. Ses yeux luisaient dans les ténèbres lorsque se présenta, au bout de la ruelle, un jeune d'homme d'une vingtaine d'années en pleine force de l'âge. Frayka fondit sur lui en un éclair ténébreux, planta ses canines dans la jugulaire de sa proie et le but avidement, ne laissant aucune chance à l'infortuné jeune homme. Au moment où ce dernier cessait de se débattre, il le lâcha, l'abandonnant, inanimé, sur les pavés poussièreux de la ruelle. Etrangement, malgré l'obscurité, chaque détail de la scène m'était apparu aussi clairement qu'en un jour d'été lorsque le soleil est au zénith.
Mon créateur se tourna alors vers moi : « Quoi qu'il arrive, il te faut respecter une règle : bois, bois, mais surtout arrête-toi avant le dernier battement de coeur. Cette règle, tu ne dois jamais l'enfreindre sous peine de faire de ta proie une créature de la nuit ». C'était donc là le secret, un baiser mortel, donner la mort pour offrir la vie éternelle. « Il y a une autre chose que tu dois savoir, tes seuls ennemis, désormais, sont ces hommes-loups qu'on appelle lycans. Si d'aventure tu en rencontres, n'aie aucune pitié pour eux, ils n'en auront pas pour toi ». Sur ces paroles, il s'évanouit dans la nuit, me laissant seule découvrir mes nouvelles aptitudes.
J'errai dans les ténèbres, il me fallait à tout prix chasser l'humain pour me prouver que j'étais apte à subvenir à ma nouvelle appétence. Je jettai mon dévolu sur une bourgeoise âgée d'une cinquantaine d'années, aux manières prétentieuses et suffisantes et au regard méprisant. Si j'ai bien de l'antipathie pour la vulgarité, la suffisance m'éxaspère tout autant, quoique, à bien y réfléchir, cette dernière soit une forme de la première. Je n'eus donc aucun scrupule à m'attaquer à elle lorsqu'elle se risqua hors de la gentilhommière par la fenêtre de laquelle je l'avais observée. Je bondis sur elle aussi vite que je le pus et fus sidérée par la nouvelle habileté que ma nature de vampire me conférait. Ne sachant trop comment m'y prendre pour lui entailler la jugulaire, je fis confiance à mon nouvel instinct de prédateur qui, à ma grande satisfaction, opéra comme par magie : je me retrouvai bientôt à lui prélever un impôt sanguin de deux ou trois litres, respectant la règle de s'arrêter avant le dernier battement de coeur. Mes dents acérées avaient pénétré la chair, ma langue léché la peau et le fluide vermeil s'écoulait dans ma gorge tel une liqueur tiède et épaisse. Ce n'est que quand je sentis son coeur flancher que je la libérai de mon emprise assassine et que je m'enfuis sans demander mon reste. Était-ce ma nouvelle constitution qui me rendait ivre de ce sang ? J'en avais encore beaucoup à apprendre sur ma nouvelle condition.
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MessageSujet: Re: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeLun 14 Avr - 21:39

l est un fait indéniable : la notion de temps diffère de beaucoup que l'on soit humain ou que l'on soit vampire. C'est une des premières constatations que je fis cette nuit-là. Il me semblait que le soleil venait à peine de se coucher, et déjà, le ciel abyssal virait vers des bleus moins profonds, les étoiles perdaient de leur éclat, l'astre du jour se préparait à toucher de ses rayons cette partie de la terre. Si j'en coyais les légendes entendues, le soleil , sans toutefois être réellement fatidique, était néfaste pour les vampires et il me fallait regagner au plus tôt un abri de ténèbres. Je me hâtai donc vers chez moi, mais fus, là, confrontée au choix de ce qui deviendrait mon refuge pour la journée. Les fenêtres de ma chambre étaient certes ornées d'épaisses tentures de velour mais un interstice risquait de m'apporter quelques désagréments. Le reste de la maison présentait la même incommodité. J'optai donc pour le cellier creusé à même la roche dans les sous-bassements de ma demeure. Aucun soupirail ne perturbait sa quiètude et une lourde porte de chêne qu'ouvrait une grande clé de bronze me garantirait qu'aucun importun ne viendrait troubler mon repos. Je jettai donc prestement une paillasse sur le sol de terre battue, refermai la lourde porte sur le monde et me cloisonnai ainsi pour le salut de moi.
La vision vampirique décuple les détails observés, c'est tout aussi indéniable et mon retranchement forcé dans ce cellier, seule et oisive, me laissa tout loisir d'analyser chaque recoin de mon abri de fortune : de fines dentelles de salpêtre pendaient de la voûte, l'humidité sointant à travers la roche avait formé un glaçage de calcaire et quelques toiles d'araignées rescapées présentaient un voilage de perles translucides. C'est alors que je me rendis compte que la cave grouillait de vies rampantes, cliquetantes, crissantes, frôlements de pattes et de carapaces. Je pouvais voir chaque détail d'une antenne, d'une mandibule, d'une aile veinée d'encre.
Et soudain, ce fut le néant : le soleil s'était levé m'expédiant illico au royaume des non-vivants. Point de rêve, juste le vide noir et glacial.
Je m'éveillai tout aussi brusquement, le disque solaire venait sans doute de fondre dans la mer parme de l'horizon, et je quittai le cellier sans regret. Il me faudrait très certainement aménager ma retraite de façon plus confortable mais là n'était pas l'urgence du moment. J'avais faim, une faim intolérable et douloureuse qui me brûlait les entrailles et obnubilait mon esprit. Je sortis donc dans la nuit à la recherche de proies humaines. L'appétit insupportable me fit oublier toute réticence à attaquer mes anciens semblables et je frappai au hasard, augmentant ma force à chaque litre de sang ingurgité : une énergie nouvelle me revigorait le corps et l'ivresse connue à ma première victime renforçait cette acuité vampirique qui me fascinait tant, explosion auditive, olfactive, sipide et surtout visuelle. Les couleurs étaient plus soutenues, les contours plus nets et les reliefs plus contrastés.
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MessageSujet: Re: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeLun 14 Avr - 21:40

A peine repue, je croisai la route d'un de ces fameux lycans contre lesquels Frayka m'avait mise en garde. Je pensais naïvement qu'en me faisant discrète, je n'attirerais point l'attention de ces créatures belliqueuses. C'était sans compter sur les aléas du sort. Il avait dû me repérer sans éveiller ma méfiance, s'était approché de moi discrètement et avait bondi tel un diable de sa boîte. Je le trouvai fort et bien armé, je n'avais encore rien vu. Il n'était qu'un prémice aux créatures bien plus puissantes que j'allais affronter plus tard. Mais inexpérimentée au combat contre de tels êtres, je me retrouvai rossée et meurtrie, vidée de mon énergie et surtout des quelques pièces d'or que j'avais eu la sottise d'emporter avec moi. Non contents d'être sans grâce et brutaux, ces lycans étaient de vils voleurs, détroussant bourses et aumônières sans scrupule. Je me jurai donc, en reprenant vigueur, que j'emploirais à chaque fois que possible les mêmes méthodes : je ferai mienne chaque pièce d'or trouvée en leur possession.
Je regagnai mon antre, bien décidée à user mes dernières forces à aménager le cellier afin d'en faire une chambre agréable et un peu plus douillette. La coutume veut que les vampires reposent dans un cercueil. Et bien cette perspective ne m'enchantait guère. Je me posai donc en vampire rebelle et installai coussins et tapis moelleux pour accueillir ma couche, ornai les murs de tentures épaisses, posai ici et là bougies et brûles-encens sur un mobilier en merisier des plus dépouillés. Le tout offrait un écrin de velour rouge, rouge comme la passion, rouge comme la folie, rouge comme le sang.
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MessageSujet: Re: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeLun 14 Avr - 21:59

.... La suite au prochain épisode.....
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MessageSujet: vivement le prochain épisode   Les mémoires d'Erato Icon_minitimeVen 29 Aoû - 15:28

vivement la suite du prochain épisode par ce ke moi meme si je voudrais écrire un truc imaginé rien ne se suit et pourtant il y a de l'idée mais je n'arrive jamais a mettre en place donc j'ai laissée tomber!!! Rolling Eyes
ce ke tu fait est génial tu devrait etre écrivain
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MessageSujet: Re: Les mémoires d'Erato   Les mémoires d'Erato Icon_minitime

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